jueves, 5 de junio de 2008

El ahogado.


Tu t'en vas à la dérive
sur la rivière du souvenir.
Et moi, courant sur la rive,
je te crie de revenir.
Mais, lentement, tu t'éloignes
et dans ta course éperdue,
peu à peu, je te regagne.
Un peu de terrain perdu.


1 comentario:

Anónimo dijo...

ohhh.... mon amour....

el frances tiene algo de romantico.... si!